Angoisse d’abandon et relations. Que faire?

travailler sur l'angoisse d'abandon en séminaire avec Carole Rinaldi Nous étions le 08 février 2019 au séminaire j’arrête de subir mes blessures émotionnelles.  Sur 3 jours, des clients venus de toute la France et de plusieurs pays d’Europe m’accordaient leur confiance pour travailler sur leurs problématiques avec les 5 blessures émotionnelles. Et quel séminaire! Plein d’humanité sous toute sa diversité.

Parmi les points les plus attendus par les participants présents : Comment se libérer du sentiment et de l’angoisse d’abandon ?

Si j’ai le temps de détailler sur 3 jours le fonctionnement de cette blessure émotionnelle, je tente aussi de vous synthétiser en articles des centaines d’heures d’accompagnements à ce sujet. Pour bien comprendre ce nouvel article, vous trouverez plusieurs ressources expliquant déjà ce qu’est la manifestation de la blessure d’abandon.  Je vais me concentrer ici sur les comportements relationnels qui sont la conséquence logique de l’angoisse d’abandon autant chez les femmes que chez les hommes. Vous donner les outils de pouvoir les identifier, voire même les anticiper et parvenir à avoir une longueur d’avance sur vos schémas habituels.

Je débute avec les blessures émotionnelles -> Découvrez Comment Mieux Vivre avec la Blessure d’abandon en 10 étapes clés. (En savoir +)

1- L’angoisse d’abandon au début d’une relation.

Mettre de la conscience sur ce qui vous attire parfois intensément chez l’autre.

1.1 – Fuite ou Amour? 

Sommes-nous attiré(e)s par une personne pour qui elle est vraiment ou pour le baume qu’elle met un temps sur nos peurs et nos blessures émotionnelles?

Fascinant comme la personne qui n’a pas conscience de sa blessure émotionnelle d’abandon peut être attirée par une personne exprimant la blessure émotionnelle de trahison par exemple. La peur d’être abandonné(e) guidant inconsciemment cette personne vers  l’énergie d’une autre en apparence plus forte, sécurisante, protectrice. Intéressant comme la personne concernée par cette blessure d’abandon peut aussi rapidement se lasser d’une relation où il/elle acquiert la certitude que l’autre ne l’abandonnera pas quoi qu’il se passe. Tout aussi fascinant d’observer comme le « stéréotype » d’hommes ou de femmes qui nous attirait avant un travail sur nos blessures émotionnelles n’est plus nécessairement le même après acceptation des peurs sous-jacentes.

 C’est en considérant l’ensemble de ces points que j’ai souhaité vous rédiger ce nouvel article. Particulièrement pour la personne concernée par la peur de l’abandon qui a tendance à mettre ses relations avec les personnes du sexe opposé sur un piedéstal et à  payer le prix des attentes qui pèsent en conséquence. Car au début d’une relation, la personne concernée par la blessure d’abandon majoritaire va généralement  ne considérer que les seules qualités du nouveau partenaire. La priorité majeure étant la fuite de 3 sources de douleur  :

  • la croyance qu’il/elle n’est pas assez pour intéresser quelqu’un en couple
  • la croyance qu’il/elle ne pourrait pas rencontrer quelqu’un d’aussi bien
  • et le besoin de sécurité vis-à-vis de sa peur de l’abandon.
    Et quand le/la partenaire n’est perçu(e) QUE comme génial(e) et QUE comme fabuleux.se pour éviter de se confronter aux blessures et croyances douloureuses évoquées ci-dessus…la douche froide ne tarde pas à arriver quelques temps plus tard.  Si vous vous savez sensible à la peur de l’abandon et à ce type de perceptions édulcorées en début de relation, voici comment apprendre à tempérer vos ardeurs

angoisse d'abandon et relations amoureuses

Que faire?  Il est normal de ressentir une agréable chimie au début de votre relation. Mon propos n’est pas de dire qu’il est mal de la ressentir ou que vous devriez vous interdire de la savourer.  Mais sachant que « l’amour (et/ou notre besoin de sécurité) a tendance à rendre aveugle », je vous conseille de vous poser régulièrement cette question au sujet de votre partenaire : »Qu’est-ce que je ne vois pas encore? ».  Cette question sera logiquement inconfortable mais nécessaire pour celui ou celle qui place son partenaire sur un piédestal. Comprenez qu’il ne s’agit pas de repérer uniquement les limites de votre partenaire et d’en faire un focus, mais de réaliser que c’est ce que vous faites avec ses qualités. Et vous n’êtes pas en relation avec un mirage mais avec un être humain. Plus tôt vous saurez reconnaitre et appréciez votre partenaire pour ses qualités ET ses limites, ressentir des sentiments pour l’être complet qu’il ou elle est,  plus tôt vous construirez un amour plus sain et stable émotionnellement.

Les angoisses d’abandon et la dépendance affective caricaturées au début d’une relation

1.2  Le séduisant protecteur qui apaise vos angoisses d’abandon.

angoisse d'abandon, victime et sauveurL’ une des autres choses importantes sur lesquelles mettre de la conscience au début de votre relation est votre tendance à la recherche de protection et de décharge émotionnelle auprès de certains partenaires. Rechercher un protecteur ou un confident est une tendance qui peut se révéler être à double tranchant en couple! Car un protecteur sur lequel on décharge ses frustrations émotionnelles sans en assumer une quelconque responsabilité est aussi souvent un sauveur. Peut-être séduisant au début d’une relation car soulageant votre besoin d’attention et soignant votre peur de l’abandon, mais aussi très souvent exaspérant à long terme pour la relation de couple. Pourquoi? Parce qu’un sauveur sait aussi mieux que vous ce qui est bon à votre place, pense et agit à votre place. Un sauveur implique une victime à sauver et par conséquent d’être la personne qu’il perçoit comme incapable d’assumer la responsabilité de sa vie et dont il se sert pour se montrer responsable. Est-ce la place que vous désirez occuper dans votre relation de couple?  

Que faire? C’est déjà une super étape de remarquer votre blessure émotionnelle d’abandon entrain de décharger son besoin d’écoute, d’attention et de sécurité. Vous ne pouvez modifier un comportement limitant qu’en commençant par oser mettre de la conscience dessus. Peut-être qu’entre temps des sauveurs se seront en toute hâte mis en quête de solutions pour vous sortir de vos impasses. Remerciez leurs bonnes intentions mais soyez clair(e) et ferme sur le fait que vous ne cherchez pas un psy ni un coach à la maison mais un partenaire avec qui construire un avenir en commun.   (Référence complémentaire : « Je sors du jeu victime, bourreau, sauveur » – 5,70€- Christel Petitcollin). 

2 – L’angoisse d’abandon dans la relation

3 points qui épuisent à petit feu l’envie de votre partenaire de s’investir dans la relation.

2.1 Ce n’est jamais assez!

Observez la croyance que « vous avez TOUJOURS manqué d’affection par le passé ». Observez combien vous y êtes attaché(e) parfois. Personne ne peut vous contredire sur cette vérité que vous entretenez, que ce soit en amour, en amitié ou dans la relation parentale. Il n’y a pas de mal à croire que vous n’avez jamais reçu d’affection ou d’amour mais un résultat à cela : vous recherchez inconsciemment les éléments qui permettent à cette croyance de continuer à exister dans le présent. Ainsi, vous ne remarquez pas autant les formes d’amour et/ou d’attention que vous recevez déjà des autres mais vous savez naturellement mettre votre focus sur ce qu’il vous manque ou ce qu’on ne vous donne pas dans la relation. Exemple : Le sms que vous attendiez et qui n’arrive pas, le câlin qu’on ne vous accorde pas…Tous ces signes qui cumulés prennent des proportions inappropriées parce qu’ils sont en réalité le support de votre  croyance :  « Je ne suis pas assez »

angoisse d'abandon et attentes insatisfaites

Et même si le manque venait à être comblé par autrui, par exemple imaginons que le SMS attendu arrive finalement, que l’autre lâche ce qu’il est entrain de faire pour se consacrer au câlin que vous demandez, votre peur de l’abandon et votre croyance feraient en sorte qu’il y ait toujours un truc à redire. Exemple : « Il/elle le fait uniquement par obligation. Je ne suis pas assez important(e) pour qu’il/elle le fasse spontanément. »  Observez que finalement, quoi qu’il se passe de la part d’autrui, ce n’est jamais assez. Observez combien cela vous épuise mais épuise aussi les élans des autres à vous vouloir vous donner davantage. Tout cela pour permettre à une croyance passée de continuer à être en cohérence dans votre instant présent. 

Que faire?  Êtes-vous certain(e) que la personne avec qui vous êtes en relation ne vous donne pas d’attention où ne parvenez-vous pas à mettre de la valeur sur ce que vous recevez déjà? La question est fondamentale et la différence entre ces 2 points est majeure. Si vous voulez recevoir des autres, commencez paradoxalement par reconnaitre et remercier ce qu’ils vous donnent déjà. (Voir la vidéo sur ce sujet ici).

2.2 Déclaration ou pression? 

Repérez une autre manifestation de la blessure d’abandon qui consiste à formuler des déclarations d’amour/d’affection qui sont en réalité des demandes implicites.  « Je t’aime » signifiant en réalité « Est-ce que toi tu m’aimes?  » pour une personne concernée par la blessure d’abandon majoritaire. Repérez si c’est aussi ce besoin fréquent d’être rassuré(e) sur votre peur de l’abandon qui vous pousse à déclarer souvent votre flamme.

Que faire?  Avant d’exprimer à l’autre ce que vous ressentez, prenez un instant pour vous demander si vous le faites par élan ou par attente? Pour faire la différence entre les 2, imaginez-vous ne pas recevoir de réponse de la part d’autrui à votre déclaration. Est-ce que cela vous ferait vivre ou non des émotions? Si vous remarquez que vous seriez sensible à cette non réponse, commencez par prendre soin de vos besoins du moment en premier. Réitérez votre démarche plus tard, une fois cette étape accomplie, et observez si la réponse est la même au sujet de vos éventuelles attentes. 

2.3 Le NON qui en dit long.

Parmi les axes de travail avec la blessure d’abandon, il y a la conscience de la frustration que vous pouvez ressentir si votre partenaire ose vous dire non. Intéressant si vous venez à la repérer car il y a 2 explications possibles à sa présence  :

  • Option 1 : Il y a les faits et votre interprétation personnelle des faits. Autrement dit, ce que le « NON » veut dire pour votre partenaire et ce que le « NON » veut dire pour vous. Un « NON » à vos attentes est souvent confondu avec un « NON » à qui vous êtes avec la blessure d’abandon. Apprendre à faire la distinction entre les 2 vous aidera à dialoguer sur l’attente refusée afin de trouver ensemble des compromis. Ce dialogue n’est malheureusement pas possible quand le « NON » est interprété contre la personne que l’on est. 

 

  • Option 2: Vous vous oubliez trop souvent pour les besoins de votre partenaire parce que vous croyez que c’est la norme du couple. Logique donc que vous ressentiez de la frustration quand le « NON » signifie qu’autrui n’est pas prêt au même sacrifice que vous. Ce n’est pas que l’autre ne vous aime pas mais une vision autre de la relation de couple. Dans cette option 2, remarquez que personne ne vous demande de vous oublier pour répondre aux besoins des autres. Au contraire,  être heureux.se indépendamment d’autrui vous rend encore plus magnétique et vous éloigne de votre peur de l’abandon. 

3- La blessure d’abandon à la fin d’une relation

angoisse d'abandon en couple Pour la fin d’une relation amoureuse ou amicale avec une personne du sexe opposé, remarquez que vous ne réagissez pas avec la même intensité émotionnelle si vous êtes à l’origine de la décision rupture. Nous parlerons de la réaction de la blessure d’abandon dans le cadre d’une rupture décidée par votre partenaire.

Qu’est-ce qui fait que vous avez du mal à tourner la page sur cette relation terminée? Que vous y pensez encore et encore jusqu’à même vivre de l’obsession? Qu’est-ce qui crée ce déchirement en vous, cet attachement à quelqu’un qui ne partage plus vos sentiments?

3.1 – La signification de la rupture pour l’égo du dépendant

En réalité, vos émotions ne sont pas totalement en rapport avec celui ou celle qui quitte votre vie. Du moins, pas seulement. Vos émotions de tristesse ne passent pas parce qu’elles touchent à quelque chose de plus profond que la rupture : ce que vous croyez au sujet de vous-même à travers cette rupture.  Vous remarquerez alors que la rupture n’est qu’une raison superficielle. La vraie source de votre mal-être est cette croyance à votre sujet qui n’est pas nouvelle et qui existait bien avant que vous débutiez votre relation de couple. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle vous associez  « Il ou elle me quitte » avec « ça signifie que je ne suis pas un homme ou une femme assez bien« . Comprenez que tant que vous choisirez de croire que vous n’êtes pas assez à votre sujet, ce filtre devant vos yeux cherchera tous les détails pouvant le démontrer afin de continuer à exister.

3.2- La rupture et l’attachement émotionnel 

En second point, vous avez de la difficulté à tourner la page sur une relation pour la raison suivante : comme vous avez pu le faire au début de la relation, vous vous concentrez et amplifiez les souvenirs heureux partagés ensemble tout en oubliant/minimisant émotionnellement les aspects qui ne vous convenaient pas chez l’autre et dans la relation. Quitte à accueillir la tristesse de cette fin de relation, basez-vous sur une vision juste de la relation et de la personne qui sort de votre vie. Car la réalité d’une rupture, c’est un arrêt de ce qui vous convenait COMME de ce qui vous énervait. De plus, considérer l’autre comme un être humain et non un mirage renforcera votre certitude de pouvoir retrouver l’amour un jour ou l’autre. 

3.3 L’illusion de la perte et l’angoisse d’abandon 

angoisse d'abandon et de la rupture

Pour croire qu’une rupture est la preuve d’un nouvel abandon, votre égo s’est forcément infiltré dans votre interprétation de la réalité. Pour vous sentir mal au sujet du fait « Il ou elle quitte ma vie« , vous devez percevoir plus d’inconvénients que d’avantages à cette rupture. Autrement dit, pour vous sentir mal à partir de cette rupture, vous devez maintenir l’illusion que vous avez plus à perdre qu’à gagner. Pour une vision plus juste de cette séparation, osez vous questionner jusqu’à ne plus savoir si le fait d’être quitté(e) est finalement positif ou négatif pour la suite de votre vie. La question qui vous y aidera est la suivante : » Quels sont les bénéfices pour moi et mes projets de vie à ce que cette relation se termine maintenant?. » Il ne s’agit pas de vous en convaincre mentalement  mais de répondre à cette question jusqu’à ressentir en vous la certitude que cette rupture est aussi service de votre avenir. 

En conclusion

J’ai bien connu cette blessure émotionnelle majoritaire et l’angoisse d’abandon. Je connais l’emballement qu’elle provoque au début de relation et aussi la chute brutale de la désillusion. Je connais le désir de vouloir devenir la perle rare aux yeux du partenaire pour guérir la plaie interne qui nous fait croire que nous ne sommes pas assez bien pour cette relation. Grâce à tous les conseils que je vous ai partagés ici, mes relations amoureuses ou amicales avec les personnes du sexe opposé n’ont progressivement plus été les mêmes.  Elles n’en sont que plus belles, et plus justes car basées sur d’autres besoins et attentes que celles qui étaient les miennes avec l’angoisse d’être abandonnée. Il est possible d’évoluer, de voir ses angoisses d’abandon se dissiper et d’apprendre de ses expériences passées.

Aujourd’hui ma relation de couple considère qu’aimer c’est souhaiter le bonheur pour lui, comme pour moi. Si ce bonheur mutuel doit un jour passer par une rupture, c’est juste la vie. L’autre ne m’appartient pas et je désire être en couple avec un homme qui en fait le choix par élan, non par peur de la solitude. La rupture, c’est un « non » à la suite d’un chemin à 2 mais AUSSI un « oui » à 4 autres futurs bonheurs à naître de nouvelles relations de couple plus appropriées aux 2 ex-partenaires.

Carole Rinaldi. 

Ressources complémentaires à cet article

Le livre de Carole Rinaldi & Anne Ghiringhelli 

Blessures émotionnelles, comment grandir de ce qui nous fait souffrir? 

MIEUX VIVRE AVEC LA BLESSURE D’ABANDON EN 10 ÉTAPES CLÉS – Les ressources de démarrer un travail sur soi et se familiariser avec la blessure émotionnelle d’abandon. (en savoir +)

7 thoughts on “Angoisse d’abandon et relations. Que faire?

  1. Merci Carole !
    C’est vrai que je ne m’étais jamais penchée sur la question des bénéfices, pour moi, d’une rupture que je n’aurais pas souhaitée… c’est une attitude bien plus positive.
    Pourtant cette solitude, ce vide, que laisse une séparation, comment les aimer ?
    Fred.

    1. Bonsoir Frédérique. En faisant vraiment l’exercice comme indiqué dans l’article. Pas seulement en quelques minutes de conviction mentale mais jusqu’à atteindre la certitude émotionnelle que c’est une opportunité exactement tel que ça se passe maintenant. Si mon client m’indique qu’il ressent toujours une perception de vide, cela signifie 2 choses : soit il n’a pas fait l’exercice jusqu’au bout. Soit il bloque au niveau du ressenti parce que le corps mental est addict à la perception que rupture = problème et mal être. Dans ce cas, cela peut parfois être l’objet d’une séance complète.

  2. Pourquoi est on parfois très attirés par des personnes inaccessibles, distantes, indépendantes…? Au point de n’avoir plus qu’une obsession, qu’il ou elle nous remarque, nous apprécie, nous aime…et plus il met de la distance…plus nous nous accrochons…pour finalement se sentir rejetée, pas appréciée pour sa juste valeur…complexe! Éprouvant…

    1. Beaucoup de raisons possible Cécile, complexe sans creuser avec la personne concernée. Avec le travail sur les blessures émotionnelles, je constate une vraie intelligence dans les relations et expériences qu’on attire à soi. Comme je l’expliquais dans cet article, nos croyances ont besoin de rester en cohérence avec notre réalité présente pour continuer à se maintenir. Une explication potentielle mais sans certitude sans un travail concret.

  3. Merci Carole,

    Tu ne peux même pas t.imaginer à quel point tes vidéos m.ont fait du bien ! Je me retrouve , me comprend mieux. Je suis concerné par la blessure d.abandon et en couple du coup relation très difficile, je me demandais si j.etais folle ou si c’était mon conjoint et grace à toi J.ai compris que ma perception et mes ressenties me jouaient des tours donc maintenant j.apprend à les gérer !

  4. Bonjour,
    Je découvre vos articles qui me parlent beaucoup. Tout est clair quand je vous lis, et je me reconnais dans les comportement que vous décrivez. Cependant, quand j’essaye d’appliquer ce que j’ai retenu à des situations réelles, mon cerveau semble se bloquer. Je n’arrive plus réflechir. Est ce une reaction normale ? Est-ce mon égo qui me joue des tours, ou bien ces idées ne sont-elles pas assez claires dans ma tête ?
    Merci pour votre travail

    1. Chère Anna, je ne peux le savoir. Peut-être de commencer concrètement par une seule chose à la fois vous servira t-il plus que d’essayer d’appliquer tout l’ensemble. Merci pour votre lecture

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